Ça ne vous rappel la chanson de Jenifer
“j’attend l’amour de mes rêêêêêves …”
voilà je vous l’ai mise dans la tête, biiiien !!!
Par curiosité, tac tac (google hein) “quand est sortie le titre J’attend l’amour de Jenifer” …
… 2002 !!!!!!!
Bon sang j’étais ou en 2002 ????
12 ans, collégienne, mal dans sa peau, trop ronde baguée (mais pas boutonnée, grande fierté –‘ oui oui !)
c’est dans cette période que j’ai rencontré celui que je croyais être “le grand amour de ma vie” oui bon on peut être bête quand on est petite, on croit que le premier garçon qui nous fais chavirer sera celui de toute notre vie…
A. qui pleurait tout seul dans la cours, déjà mon âme de psy, j’ai foncé.
Devenus inséparables, soirées, journées, téléphone, séche de cours, premier bisou, veste échangés, disputes, autres filles, jalousies, sentiments, bague, redispute, consolation rapprochement, éloignement …
Et 10 ans plus tard, je tourne à peine la page.
Je ne m’étais jamais véritablement interressé au garçon avant A, quand je l’ai rencontré, ça à été direct, -- coeur qui se tort et estomac noué—
Je rêvais d’une belle histoire et j’étais persuadé qu’il me l’offrirait, un jour…
j’ai attendu…
Attendu …
Attendu …
après plus que ce qu’il me donnait, au lieu de demander simplement une veritable histoire d’amour plutôt que l’ambiguité sur laquelle on résidait.
Mon Dieu j’étais de ce genre, pudique, qui ne montre rien, froide et frigide, difficile, jalouse et “mauvais” caractère… bon ok une ado quoi !!
Cerise sur le gateau un principe (certes honorable) ne pas faire l’amour avant le mariage, enfin non disons plutôt, pas avant un engagement certain !!! (maiiis j’en ferait un autre sujet !! )
Puis je l’ai perdu.
Entre temps, de l’eau à coulé sous les ponts … et des garçons aussi (dans mon imagination du moins !!pour certains je les y balanceraient bien tiens !)
Ma question (c’est bien beau de se rememorer tout ça mais venons en au fait)
pourquoi en revient on toujours à nos premiers amours ?
On a toutes un fantôme… pourquoi ne réussisons nous pas à tourner la page.
Le premier garçon pour qui nous ressentons des sentiments (très fort j’entend) est aussi important que le premier garçon avec qui nous faisons l’amour, je suis d’avis que ce doit être le même.
Dans mon cas, ça n’a pas été A, mais un garçon que je trouvais tellement gentil, attentionné charmant … plein de “belles paroles” (CONNARD) si bien que je lui ai donné ma virginité, cet engagement personnel que je réservait qu’il m’a volé et pour lequel il n’a eu aucun respect.
Je dirai que si je n’ai jamais réussis à oublier A. c’est parceque ça aurait dut être lui, et que j’ai un sentiment de “non aquis” “d’inachevement” .
Toutes les histoires sont différentes… pour les autres cela peut être un facteur de temps, l’un a cessé d’avoir des sentiments, l’autre n’a pas eu le temps de les perdre, n’ayant personne à ses côtés les sentiments stagnent mais ne partent pas (parfois bien au contraire)
il y a aussi l’égo, l’orgueil qui joue, ce n’est jamais facile de se faire “lourder”.
Pour ma part je n’ai jamais réussis a oublié N pour la simple raison qu’on s’est frequenté, qu’il a eut ce qu’il voulait et qu’après “quelques coups” je n’ai jamais JAMAIS plus eu de nouvelles et qu’en essayant de faire de lui un type “honnête” en lui demandant des explications il n’a fais que se défiler car c’est un lâche, un vaurien et que la seule chose qui fais que je ne l’oublis pas c’est qu’en
1
Il est le premier
2
avant de devenir cette ordure il a été mon chéri, mon copain mon confident et le premier à qui j’ai confié un sombre secret et qu’il a été là à m’écouter… m’aider a prendre confiance en moi
3
Le seul a m’avoir veritablement touché et que l’idée que ces mains d’enflure étaient les seules qui avaient parcourus mon corps me dégoutait au plus haut point dès que je pensais au sexe.
Je suis rancunière, je crois qu’il est la personne que je hais le plus au monde… et je pense tout du moins j’espère que la roue tournera et l’ecrasera au passage car c’est tout ce qu’il mérite.
Doit on laisser couler ? La vengeance est elle une bonne chose ? je suppose que non… “laisse Lauren, il n’en vaut pas la peine, tourne la page, passe à autre chose”
“c’est pas gentil, tu n’étais censé rien attendre” “laisse couler pas besoin de lui faire du mal” “ne souhaite pas du mal” C’est incontrolâble, ce ne sont pas des choses qu’on peut diriger, je ne peux pas passer outre. On ne peut oublier le mal qu’on nous fait, c’est un mythe. Le pardon n’est jamais entier.